Traduction
d’un poème dans mon livre,
"El Sol en su cenit". Ed Carena. Barcelone 2014.
"El Sol en su cenit". Ed Carena. Barcelone 2014.
Pardonnez
des erreurs de traduction.
Je l’ai fait aujourd’hui avec amour.
Je l’ai fait aujourd’hui avec amour.
Pour toutes les victimes du terrorisme.
In
memoriam.
Comment un
cœur peut
tirer de
sang-froid
et suivez
survivante?
La mort n’est
pas mourir, mais tuer.
Qui tue
est un cadavre sans âme;
qui tue,
pas celui qui meurt.
Qui tue
est insensible.
Il est
aveugle. N’écoute pas.
L'odeur
de la mort est le sien.
Il ne
goute aucune autre saveur comme celle de la mort.
Sa faux a
oublié le touche
de l’embrassade;
du serrer
la main;
il souffre
d'amnésie de caresses.
Sa soif
boit larmes
avec abondance.
Sa faim
ne goûté pas
le pain de la parole;
ne digère
pas la paix de la parole;
sa voix
est le vacarme, le coup de feu, l'explosion;
son seul
argument est l’extorsion.
Sicaire
du rancœur,
ça serait
sa seule victoire:
montrer l’haine
par les pupilles
de les gens
tourmentées.
Si ils nous
faites comme eux
ils ont
gagné!
Peut-être
qu'ils peuvent nous tuer,
ne
laissons pas
changer
les notre cœurs;
nous
vivrons moins, oui,
mais
mieux qu'eux!
Que la
peur ne nous laisse pas
en dehors
de cette histoire:
nous faisons
taire avec paroles son beugler.
Que notre
indifférence
ne tapis pas
le chemin de leur gloire.
La mort n’est
pas mourir, mais tuer.
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